domenica 18 gennaio 2015

"La vieille qui graissa la patte au chevalier” - Maddalena Cellerino


Bonsoir!


Le sujet du jour est d'ècrire un fabliau sur le modèle de "La vieille qui graissa la patte au chevalier”. Bon, je ne suis pas Balzac et je commetterai beaucoup de fautes, mais j'essaye... on verra le résultat! Ce sera amusant :D




Voici une série de proverbes. Je dois choisir celui qui deviendra la morale du fabliau. Avant, j'ai verifié le sens de ceux que je ne connaissais bien.

  1. Ce que femme veut, Dieu le veut : Les femmes finissent toujours par obtenir ce qu’elles veulent.
  2. Bien mal acquis ne profite jamais : Un bien mal acquis ne profite jamais à celui qui le posséde.
  3. Toute vérité n’est pas bonne à dire : La verité n’est pas toujours agréable à sentir.
  4. La plus belle fille du monde ne peut donner que ce qu’elle a : Les délicats sont malheureux,
    Rien ne saurait les satisfaire. Nul peut donner ce qu’il n’a pas.
  5. Qui ne risque rien n’a rien : On ne peut pas obtenir rien si on ne risque jamais.
  6. Rira bien qui rira le dernier : Attendez la fin avant de vous rejouir.
  7. L’occasion fait le larron : les temptations nous mettent à l’épreuve.
  8. Rien ne sert de courir, il faut partir à point : il faut commencer à temps.


1.Jeter de la poudre aux yeux à quelqu’un
2.Eclairer la lanterne de quelqu’un
3.Prendre le taureau par les cornes
4.Etre tiré à quatre épingles
5.Mettre la puce à l’oreille de quelqu’un
6.Faire table rase



  • Faussement éblouir quelqu’un  > 1
  • Etre impeccablement vêtu(e)  > 4
  • Repartir au commencement  > 6
  • Alerter quelqu’un   > 5
  • Renseigner quelqu’un  > 2
  • Faire face à une difficulté  > 3



Finalement, j'ai une idée!...  Voici le titre de mon récit:


"Lucille audacieuse"

Alors, on commence!


Dans un petit village de la campagne française, la petite Lucille qui vivait dans une ferme, de l'âge de cinq ans, devait aller pour la premier fois à l'école. Elle devait y aller toute seule, parce-que ses parents travaillent tout le jour dans les champs et donc ils ne la pouvent pas l'y accompagner. La petite Lucille avait peur, elle n'était jamais sortie de chez elle et, en outre, l'école n'était pas si proche. Elle demanda alors conseil à sa grand-mère. L'ancienne femme lui répondit qu'elle devait prendre le taureau par les cornes, sortire de la ferme et enfin aller à l'école. Lucille n'était pas sûre de ce que sa grand-mére lui avait dit, toutefois, en se fiant à elle, elle se décidait à le faire. Le matin de son premier jour d'école, avant de sortir, la petite allai un moment dans l'étable, entrait dans l'enclos et tentai au moins de toucher les cornes du taureau, au moment où sa mère arrivait pour nourrir les bêtes. “Qu'est-ce que tu fais?! T'es foule? Tu aurais pu mourir là dedans!”, lui dit sa mère inquieté. “Mais maman... Grand-mère me l'a dit, je ne voulais pas aller tout seule à l'école, donc elle m'a dit de prendre le taureau par le cornes...”, répondait Lucille. La mère, souriant, basait la petite e lui disait de ne plus faire une chose si bête.


J'espére que c'était mignon.... :D

Bonne soirée à tous et...attention à sortir de la maison!!!

                                                                              Maddalena Cellerino

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