sabato 22 novembre 2014

Exercice sur LA VIEILLE QUI GRAISSA LA PATTE AU CHEVALIER

Exercice sur le fabliau et le quiproquo





 

Réponses :
 
1)      Le récit est au passé simple du Indicatif.

2)      C’est un petit conte sur la vicissitude d’une veille paysane dont les vaches sonnt volés par un prevôt.

3)      Division du récit:
INTRODUTION à LA SITUATION : « Une vieille paysanne possédait pour toute richesse deux vaches. Ce n’était certes pas beaucoup, mais c’était là tout son bien. Elle vendait leur lait pour trouver de quoi survivre. INCIPIT DU CONTE : Un matin, les deux bêtes, sans doute mal gardées, fuirent leur enclos et se trouvèrent, à vagabonder sur la route. Le prévôt, passant par là, les vit toutes deux et, les jugeant égarées, il les emmena avec lui. INJUSTICE ENVERS LA PAUVRE VIEILLE : La malheureuse femme découvrît bientôt que ses deux bêtes avait disparu. Ses voisins la renseignèrent : le prévôt les avait recueillies mais il ne voulait pas les rendre. La malheureuse s’en alla trouver l’homme, elle le supplia de lui restituer son unique bien, elle accepta même de payer une amende pour prix de sa coupable négligence. Mais elle ne pouvait prouver que les vaches lui appartenaient, le prévôt fît la sourde oreille. CONSEIL D’UNE FEMME QUE PROBABILMENTL A veçu UNE SITUATION SIMILAIRE : La paysanne s’en revint chez elle, désemparée. La voyant en grande peine, sa voisine lui dit : « Le prévôt est un homme cupide. Si tu pouvais graisser la patte au chevalier, il interviendrait sûrement auprès de ce coquin et le convaincrait de te rendre tes deux vaches.
Voilà la vieille toute rassurée.
LA VIEILLE AGIT : Elle décrocha un épais morceau de lard suspendu aux poutres de sa cuisine et s’en alla attendre le chevalier. Quand celui-ci parut au loin, elle courut à sa rencontre : elle s’empara de ses paumes et y appliqua plusieurs fois le morceau de gras.
L’homme ne dissimula pas sa surprise :
« Que fais-tu donc là ?
La pauvre femme lui répondît :
- Beau sire, je graisse votre patte car je ne souhaite rien de plus au monde que de récupérer les deux vaches que vôtre prévôt m’a injusteêment prises.
JUSTE CONCLUSION : Le noble personnage éclata de rire et prît les courtisans de sa suite à témoins.
- Tu n’as pas compris, brave femme. Mais cela est égal, je te rendrai sur le champ tes bêtes !
Ainsi s’achève cette histoire. Mais ne l’avez-vous pas justement remarqué : le pauvre est celui qui paye, toujours, même quand il est dans son bon droit ! ».

4)      Le titre est un jeu de mot. Grasser la patte à quelqu’un en effet, veut dire faire de la lèche dans son sens figuré, mais ici la vieille l’entend par son sens figuré en prennant sa voisine au pied de la parole. Le récit presente donc une syllepse.5)      Le quiproquo est la base du conte et nait pour l’ignorance de la paysane qui fait litteralement tout ce que sa voisine elle conseille.6)      Le fabliau est au même temps satirique et moral parce-que ça veut répresenter avec de l’ironie une situation compliqué. C’est moral car les mots finas contiennent une verité indéniable .



Texte au présent


 « Une vieille paysanne possède pour toute richesse deux vaches. Ce n’est certes pas beaucoup,      mais c’est là tout son bien. Elle vend leur lait pour trouver de quoi survivre.Un matin, les deux bêtes, sans doute mal gardées, fuient leur enclos et se trouvent, à vagabonder sur la route. Le prévôt, passant par là, les voit toutes deux et, les jugeant égarées, il les emmenet avec lui.La malheureuse femme découvre bientôt que ses deux bêtes ont disparu. Ses voisins la renseignent : le prévôt les avait recueillies mais il ne vet pas les rendre. La malheureuse s’en va trouver l’homme, elle le supplit de lui restituer son unique bien, elle accepte même de payer une amende pour prix de sa coupable négligence. Mais elle ne peut prouver que les vaches lui appartiennent, le prévôt fait la sourde oreille. La paysanne s’en revient chez elle, désemparée. La voyant en grande peine, sa voisine lui dit :« Le prévôt est un homme cupide. Si tu pouvais graisser la patte au chevalier, il interviendrait sûrement auprès de ce coquin et le convaincrait de te rendre tes deux vaches. Voilà la vieille toute rassurée. Elle décroche un épais morceau de lard suspendu aux poutres de sa cuisine et s’en va attendre le chevalier. Quand celui-ci parâit au loin, elle court à sa rencontre : elle s’empare de ses paumes et y applique plusieurs fois le morceau de gras. L’homme ne dissimule pas sa surprise : « Que fais-tu donc là ? La pauvre femme lui réponde : - Beau sire, je graisse votre patte car je ne souhaite rien de plus au monde que de récupérer les deux vaches que vôtre prévôt m’a injustement prises. Le noble personnage éclate de rire et prend les courtisans de sa suite à témoins. - Tu n’as pas compris, brave femme. Mais cela est égal, je te rendrai sur le champ tes bêtes ! Ainsi s’achève cette histoire. Mais ne l’avez-vous pas justement remarqué : le pauvre est celui qui paye, toujours, même quand il est dans son bon droit ! ».

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