Cliché: les
hommes français sont des tombeurs des femmes
Réalité ou pas?
Un
mec français et une fille italienne, amis depuis longtemps, se rencontrent dans
une cafétéria.
François : Bonjour Maria ! Ça va ?
Maria : Salut Jean ! Nickel, et toi ?
F. : Ça va, merci ! Alors, tu es réentrée à la maison !? Comment s’est passé ton semestre à Paris ?
M. : Les cours étaient intéressants
et la cité est vraiment jolie : Il y a plein de boutiques et de bistro !
Maintenant, même si je suis à la maison, je mange souvent un croissant au petit-déjeuner et une baguette chaque jour.
F. : Ah c’est bien ça…je prends toujours une crêpe dans les Champs-Elysées quand je vais à Paris! Et as-tu connu beaucoup de gens à l’université?
F. : Ah c’est bien ça…je prends toujours une crêpe dans les Champs-Elysées quand je vais à Paris! Et as-tu connu beaucoup de gens à l’université?
M. : Oui, quelque fille et des gars
qui sont très sympas. Mais je suis de plus en plus convaincue que vous êtes des
tombeurs
des femmes, les mecs français !
F. : Pourquoi tu dis ça ?
M. : J’ai connu ce mec….il a un
certain savoir-faire, il est connu
pour son charme. Il m’a donné un rendez-vous dans un atelier. Je
me suis bien habillée et j’ai mis mon eau
de toilette préféré…mais il m’a donné forfait ! C’est une autre débâcle…
F. : Ne sois pas triste ! Je ne
sais pas pourquoi mais tu choisis toujours les mauvais gars…
M. : Mmmm…je ne sais pas, en Italie c’est
différent !
F. : Alors…c’est un peu embarrassant
à demander, mais est-ce que tu veux sortir avec moi? Je t’ai toujours appréciée…et
je veux aller prendre un dessert avec
toi dans une pâtisserie très chic.
M. : Oui d’accord!
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Le cliché,
comme le stéréotype, tire son origine des techniques de reproduction
apparues au début du XIXe siècle dans l’imprimerie, pour copier exactement un
document ou une page imprimée.
L’expression « il tire son cliché » désignait
dans les ateliers d’imprimerie l’individu qui répétait constamment la même
chose.
Au sens figuré, un
cliché est devenu une expression
toute faite devenue banale à force d'être répétée; idée banale généralement
exprimée dans des termes stéréotypés.
Giulia Cresta
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